Nous sommes tous confrontés, de près ou de loin, de façon récurrente ou exceptionnelle, à la douleur. Celle-ci est fondamentale pour nous, puisqu’elle nous indique que nous nous éloignons de notre état d’équilibre.
Par exemple, lorsque nous posons la main sur la plaque de cuisson encore chaude, le mal ressenti nous pousse à retirer la main de la source de chaleur, ce qui permet de ne pas aggraver l’altération des tissus.
La première étape dans la gestion de la douleur sera donc, évidemment, de traiter sa cause.
Cependant, dans les cas de certaines douleurs chroniques (arthrose) ou aigues (fracture) où l’on ne peut pas agir directement sur la cause, il est très intéressant de disposer d’un outil naturel pour diminuer la perception douloureuse.
De nombreuses huiles essentielles (HE) présentent un effet antalgique reconnu, dont les mécanismes moléculaires sont bien documentés.
Nous verrons donc tout d’abord comment l’information douloureuse est traitée par le système nerveux, puis comment nous pouvons moduler cette information grâce aux HE.
1. Les différents types de douleurs
On rencontre plusieurs types de douleurs :
- Les douleurs inflammatoires, qui recouvrent toutes les douleurs associées aux phénomènes d’inflammation (il s’agit souvent de douleurs articulaires).
- Les douleurs neuropathiques, associées à des atteintes du système nerveux central et périphérique (lésion de la moelle épinière, du nerf sciatique…).
- Les douleurs mixtes, qui associent une composante inflammatoire et une composante neuropathique, comme dans les lombo-sciatiques. Ces douleurs sont souvent rencontrées dans le cadre de cancers ou après une chirurgie.
- Les douleurs dysfonctionnelles (la fibromyalgie, les troubles fonctionnels intestinaux) dans lesquelles aucune lésion (inflammatoire ou neurologique) ne peut être identifiée : les mécanismes de ces douleurs sont encore mal connus.
2. Le traitement nerveux de l’information douloureuse
Nous avons conscience de la douleur lorsque le signal parvient à notre cortex cérébral, c’est-à-dire la zone la plus externe de notre cerveau. Mais avant cela, de nombreuses étapes de traitement sont nécessaires (figure 1).

La naissance du signal douloureux
Lorsque une lésion tissulaire apparait, elle commence par déclencher une inflammation, qui va donner lieu à deux actions différentes (figure 1) :
- D’une part, elle va activer les globules blancs, qui vont produire des molécules capables de stimuler les cellules chargées de la détection du signal douloureux.
Point vocabulaire : Les molécules chargées d’initier le message douloureux sont des médiateurs chimiques, qui vont exciter le neurone (appelé nocicepteur) chargé de détecter et propager l’information douloureuse.
- D’autre part, elle peut déclencher la libération directe de ces fameux médiateurs chimiques.
Traitement médullaire de l’information douloureuse
Une fois que le nocicepteur a détecté le stimulus, il émet un message nerveux qui va arriver dans la moelle épinière. Là, ce premier neurone va communiquer avec un autre neurone, qui sera chargé de véhiculer l’information jusqu’au cerveau (figure 2).
Il se passe à ce niveau-là un phénomène fascinant : une régulation de l’intensité douloureuse. En effet, si la douleur peut être bénéfique car elle nous pousse à nous intéresser à une zone altérée, elle peut aussi être très handicapante, voire carrément invalidante. Un mécanisme de contrôle impliquant d’autres neurones permet justement de moduler ce signal. Il met en jeu des substances chimiques proches de la morphine (qu’on appelle des enképhalines), et qui vont empêcher l’information d’être intégralement transmise au deuxième neurone, chargé de faire remonter l’information jusqu’au cerveau.

C’est donc grâce à ce neurone (représenté en vert et appelé 1′ sur la figure 2), que l’information douloureuse peut être diminuée. La morphine, parfois injectée en cas de douleurs importantes, mime l’action des enképhalines naturellement produites par le système nerveux, d’où son puissant effet antalgique.
Traitement cortical de la douleur

On l’a vu, pour que le signal soit conscient, l’information doit parvenir au cerveau.
Le neurone 2, issu de la moelle épinière, se projette dans une zone profonde du cerveau appelé thalamus. Enfin, un dernier neurone parvient jusqu’aux zones qui vont amener à la conscience le signal douloureux.
Il n’existe pas, à proprement parler, une zone cérébrale unique, impliquée spécifiquement dans la sensation douloureuse.
En revanche, de nombreuses aires sont activées lorsqu’un sujet perçoit un stimulus douloureux (figure 3).
Il est probable que la variété des zones cérébrales impliquées dans la douleur soient responsables des très nombreuses colorations que peut prendre un même stimulus nociceptif.
Tous ces neurones peuvent être le siège d’une modulation du signal, et donc diminuer la perception douloureuse expérimentée par le sujet. De nombreux HE, dont les mécanismes d’action au niveau moléculaire sont très bien identifiés, agissent à différents niveaux de ce processus.
3. Les huiles essentielles qui modulent la douleur (aromathérapie)
Pour déterminer les huiles essentielles qui peuvent agir sur les différents acteurs de la voie nociceptive, nous allons commencer par étudier les molécules pour lesquelles une action précise a pu être identifiée.
Les molécules présentes dans les huiles essentielles, ayant une action antalgique
Pour résumer, on peut classer les molécules ayant une action antalgique en fonction de la cible sur laquelle elles vont agir (figure 4) :
- Des molécules anti-inflammatoires : en s’opposant à la production des messagers chimiques de l’inflammation, ces molécules s’opposent à la naissance du message douloureux.
- Des molécules inhibitrices du nocicepteur : ces molécules agissent en bloquant la détection des médiateurs de la douleur par le neurone.
- Des molécules qui miment l’action de la morphine : En agissant sur les récepteurs aux enképhalines, ces molécules vont présenter un puissant effet antalgique.
- Des molécules inhibitrices des synapses cérébrales : Ces molécules agissent au dernier niveau de la voie de la douleur.

Le linalol (2, 12), un monoterpénol présent dans l’HE de Bois de Rose (Aniba roseadora) ou le thym vulgaire à linalol, agit sur les récepteurs au glutamate, situés au niveau de la moelle épinière et probablement de certains centres cérébraux impliqués dans la gestion de la douleur.
Le menthol (3), (présent dans la menthe poivrée ou dans la menthe des champs) agit sur un récepteur aux opioïdes appelé «kappa», responsable également de l’effet antalgique de ce monoterpénol.
La (-)carvone (10), une cétone fréquente dans plusieurs huiles essentielles de menthe, présente une action antalgique par une inhibition au niveau central, grâce à un mécanisme différent de celui de la morphine. Cela suggère que la carvone inhibe la douleur sans intervenir sur les récepteurs aux enképhalines.
Le para-cymène (11) est une molécule très intéressante, car elle agit potentiellement à 3 niveaux : sur l’inflammation, sur le système enképhalinergique, et au niveau cérébral. Elle présente donc une action très polyvalente, qui la rend particulièrement indiquée dans des douleurs de différentes étiologies. Cette molécule se retrouve dans les HE d’arbre à thé, et de thym à para-cymène par exemple. Sachez toutefois que le para-cymène se retrouve également en abondance dans le thym à thymol.
L’eugénol (2) (la molécule majoritaire dans le clou de girofle) présente quant à lui une action très spéciale : il calme la douleur en activant de façon intense les nocicepteurs, ce qui aboutit in fine à les rendre inutilisable… Un peu comme la bouche est anesthésiée par la consommation de piments !
Le carvacrol, un autre « phénol » rencontré dans la sarriette des montagnes ou l’origan compact, présente une action antalgique très documentée. Il a été administré per os à des souris (doses élevées : 50 et 100 mg/Kg), et a montré une action anti-nociceptive très significative. Le mode d’action n’est pas clairement identifié, même si on sait qu’il ne fait pas intervenir les récepteurs aux enképhalines, ni certains messagers de l’inflammation (monoxyde d’azote). Quand on sait ce qui n’intervient pas, il ne reste plus qu’à trouver les acteurs qui interviennent !…
L’ α-santalol (2) (présent dans l’huile essentielle de Bois de Santal), agit également sur les récepteurs aux opioïdes (comme le menthol), mais de type « delta 2 » cette fois.
Le nérolidol (8), a quant à lui montré, dans une étude réalisée sur le rat par ingestion, une forte action antalgique, par un double mécanisme :
- d’une part, par une action anti-inflammatoire ;
- d’autre part, par une action sur des neurones modulateurs présents au niveau cérébral (neurones gabaergiques).
On retrouve cette molécule en abondance dans l’huile essentielle de Cabreuva (Myrocarpus fastigiatus).
Enfin, signalons trois molécules (4) qui vont calmer la douleur grâce à leur action anti-inflammatoire : le citronellal de l’eucalyptus citronné (9), le 1,8 cinéole (5) des eucalyptus radié et globuleux, et le salicylate de méthyle des gaulthéries (6).
Les huiles essentielles utilisables pour gérer la douleur en aromathérapie
Même s’il est toujours difficile et réducteur d’extrapoler l’action d’une huile essentielle à partir des propriétés d’un de ses constituants, on peut avoir une idée générale des HE potentiellement efficaces dans le traitement de la douleur. Bien-sûr, une démarche rigoureuse nécessiterait des recherches pour tester l’action antalgique non pas de molécules isolées comme cela a été fait jusqu’ici, mais d’huiles essentielles constituant un « totum ».
Il convient également d’être vigilant sur les voies d’administration, les contre-indications et interactions médicamenteuses potentielles. Par exemple, l’application d’origan compact sur la peau, sans une dilution appropriée, risque fort de générer une irritation plus qu’un effet antalgique ! L’avis d’un professionnel, la plupart du temps, est fortement recommandé.
Néanmoins, voici un petit aperçu des HE ayant, de façon plus ou moins certaine, une action antalgique :
- Action anti-inflammatoire et périphérique : Gaulthérie couchée, E. citronné, Menthe poivrée, Cabreuva, Arbre à thé, Thym à thymol, O. compact, Clou de girofle
- Action au niveau médullaire : Menthe des champs, Menthe poivrée, Santal blanc (bois), Arbre à thé
- Action sur synapses cérébrales : Menthe des champs, Menthe poivrée, Cabreuva, Thym à linalol, Bois de rose, Arbre à thé, Thym à thymol, Origan compact.
Ainsi, si vous souhaitez atténuer une sensation douloureuse pour laquelle il est difficile d’agir sur la cause primaire, il sera possible de réaliser une synergie adaptée à votre profil, dont le choix des HE visera à maximiser le nombre de sites d’action.
N’oubliez pas que l’idéal, ce n’est pas d’utiliser des HE ayant une action antalgique, mais de trouver la cause de la douleur, et d’agir directement sur elle !
Pour conclure, il semble acquis que les HE sont de fabuleux outils pour calmer la douleur. Une étude clinique (7, et c’est suffisamment rare pour être remarqué !) a d’ailleurs montré une nette amélioration sur des douleurs d’arthrite après application d’un mélange d’HE, contenant lavande vraie, marjolaine à coquilles, Eucalyptus citronné, romarin à camphre et Menthe poivrée, dans les proportions suivantes 2:1:2:1:1 (dilué à 1,5% dans HV).
- http://www.medecine.ups-tlse.fr/DCEM2/module6/arielle/chapitre_02.pdf
- De Sousa, D. P. (2011). Analgesic-like activity of essential oils constituents. Molecules, 16(3), 2233-2252.
- Galeotti, N., Mannelli, L. D. C., Mazzanti, G., Bartolini, A., & Ghelardini, C. (2002).) Menthol: a natural analgesic compound. Neuroscience letters, 322(3), 145-148
- Miguel, M. G. (2010). Antioxidant and anti-inflammatory activities of essential oils: a short review. Molecules, 15(12), 9252-9287.
- Santos, F. A., & Rao, V. S. N. (2000). Antiinflammatory and antinociceptive effects of 1, 8-cineole a terpenoid oxide present in many plant essential oils. Phytotherapy research, 14(4), 240-244.
- Liu, W. R., Qiao, W. L., Liu, Z. Z., Wang, X. H., Jiang, R., Li, S. Y., & She, G. M. (2013). Gaultheria: Phytochemical and pharmacological characteristics. Molecules, 18(10), 12071-12108.
- Kim, M. J., Nam, E. S., & Paik, S. I. (2005). [The effects of aromatherapy on pain, depression, and life satisfaction of arthritis patients]. Taehan Kanho Hakhoe Chi, 35(1), 186-194
- Fonsêca, D. V., Salgado, P. R., de Carvalho, F. L., Salvadori, M. G. S., Penha, A. R. S., Leite, F. C., … & Almeida, R. N. (2016). Nerolidol exhibits antinociceptive and anti‐inflammatory activity: involvement of the GABA ergic system and proinflammatory cytokines. Fundamental & clinical pharmacology, 30(1), 14-22.
- Melo, M. S., Sena, L. C. S., Barreto, F. J. N., Bonjardim, L. R., Almeida, J. R. G. S., Lima, J. T., … & Quintans-Júnior, L. J. (2010). Antinociceptive effect of citronellal in mice. Pharmaceutical biology, 48(4), 411-416.
- Goncalves, J. C. R., de Sousa Oliveira, F., Benedito, R. B., de Sousa, D. P., de Almeida, R. N., & de Araújo, D. A. M. (2008). Antinociceptive activity of (−)-carvone: evidence of association with decreased peripheral nerve excitability. Biological and Pharmaceutical Bulletin, 31(5), 1017-1020.
- Bonjardim, L. R., Cunha, E. S., Guimarães, A. G., Santana, M. F., Oliveira, M. G., Serafini, M. R., … & Quintans-Júnior, L. J. (2012). Evaluation of the anti-inflammatory and antinociceptive properties of p-cymene in mice. Zeitschrift für Naturforschung C, 67(1-2), 15-21.
- Batista, P. A., de Paula Werner, M. F., Oliveira, E. C., Burgos, L., Pereira, P., da Silva Brum, L. F., & dos Santos, A. R. S. (2008). Evidence for the involvement of ionotropic glutamatergic receptors on the antinociceptive effect of (−)-linalool in mice. Neuroscience Letters, 440(3), 299-303.
Je suis atteinte de douleurs neurophatiques chroniques épigraphique, d une part et d une douleur névralgique pudentale. C est très difficile voire insupportable à vivre
Je suis sous tromadol, Fentanyl, antidépresseurs, anxiolytiques e c t ..,,)
Tout cela a un impact très lourd, et je suis invalidante. Pourriez vous me dire comment me sortir de tout cela, à part les produits chimiques qui me mettent la tête à l envers , je suis dépourvue de tout
plus envie de rien et incapable de faire quoique que ce doit, je tombe dans une forte de dépression
J espère que vous pourrez m aider
Bonjour, vous semblez vivre une situation très délicate. Vous avez sans doute besoin de soutien, et d’aide personnalisée. En aucun cas votre situation pourrait être réglée par un conseil sur Internet, il vous faut rencontrer un thérapeute qui vous proposera une prise en charge globale…
Je peux vous indiquer des praticiens très compétents qui pourront adapter un conseil aromatique ou naturopathique à votre profil et aux médicaments que vous prenez déjà.
Bon courage pour cette période difficile.
Bonjour,
Pourriez-vous me conseiller précisément (huiles essentielles et végétales, formules avec dosages, mode d’utilisation) pour des crises migraineuses qui peuvent durer 2-3 jours ? Il ne s’agit que de calmer les crises ?
*j’ai lu matricaire + menthe poivrée + basilic tropical dans millepertuis, mais sans plus de précision …
Merci de votre aide.
Bonjour Claude,
vous pouvez réaliser une synergie dans un roll’on de 5 mL, en mettant :
– 0,5 mL de Menthe poivrée
– 0,5 mL de Basilic exotique
– 0,2 mL de Matricaire
– Compléter avec de l’HV.
Attention à bien vérifier les contrindications associées à ces HE, car elles ne conviennent pas à tout le monde.
La consultation d’un professionnel formé sera toujours plus adapté qu’un conseil dispensé sur internet…
Bien à vous
Arnaud
Bonjour ! Je souffre de fortes douleurs neuropathiques dues à une sclérose en plaques, pourriez-vous m’indiquer la ou les huiles essentielles qui pourraient m’aider, s’il vous plaît ? Merci beaucoup.
Bonjour Marisa,
De façon générale, c’est souvent l’HE d’Ylang ylang qui est conseillée pour les douleurs neuropathiques.
Il vous faudrait consulter un spécialiste afin d’adapter précisément la préconisation à votre cas.
Bien à vous
Bonjour Marisa et Arnaud,
Je suis connaisseur des HE, ayant remplacé mes médicaments par des synergies d’HE, pour traiter hypertension, hypothyroïdie, jambes lourdes, spondylarthrite ankylosante. Au départ j’atténuai les douleurs dues à cette forme de rhumatismes. Je me suis souvenu et j’ai adopté le régime hypotoxique du Dr Seignalet, qui neutralise les symptômes de 91 maladies, dont les maladies auto-immunes (SPA, sclérose en plaques…) et depuis septembre 22, mon état physique s’est amélioré, j’ai .rarement besoin de combattre mes douleurs, je peux m’abaisser. Ce régime consiste à supprimer les produits laitiers, dans un premier temps à supprimer les substances contenant du gluten, à cuire à la vapeur d’eau ou à l’étouffée, boire une eau peu minéralisée telle que celle du mont roucous.
Bonjour,
Que conseillez-vous comme mélange d’huiles essentielles pour des douleurs sur les nerfs périphériques dû à la maladie de Charcot Marie Tooth.
Merci
Bonjour Dominique,
De façon générale, c’est souvent l’HE d’Ylang ylang qui est conseillée pour les douleurs neuropathiques.
Il vous faudrait consulter un spécialiste afin d’adapter précisément la préconisation à votre cas.
Bien à vous
Un AVC cérébelleux en 2017 sans séquelles
Un syndrome queue de cheval novembre 2020 . Symptôme disparus . Pas d’indication chirurgicale.reeducation a la marche et équilibre en cours et port de releveurs. Mais, douleurs neurologiques aux pieds, plantes et courbures type brûlures intenses provocant insomnies.
Pregabaline sans effet notoire. Lamaline 4/ jours
Quelles huiles et mélanges conseillés.
Merci
Bonjour Charles,
Merci pour votre message.
La situation que vous décrivez est assez complexe et nécessiterait une consultation pour adapter précisément le choix des HE.
JE vous conseille de vous rapprocher d’un professionnel formé à l’aromathérapie.
Bien à vous
Arnaud
Cher monsieur, merci pour votre article, ca ma aider de laise ma femme dormir une nuit an totalité, merci encore, Nous somme 85 et 86 an !
MErci pour ce beau témoignage !
Bien à vous
Bonjour Monsieur,
Ici douleurs post op ds le creux poplité + lancées autour du tibia jusqu’au pied depuis la pose prothèse complète d un genou il y a 2 mois.Je masse mais avec un mélange HE ce s’était mieux. Pourriez vs me donner des conseils + dosage? Je n ai aucune solution du côté chir pour qui l operation à réussi… un grand merci
Bonjour,
le plus simple dans votre cas serait de faire un massage avec notre Artribaume (https://laboratoiredumani.fr/boutique/baume_imperial/artribaume/).
Les douleurs sont toujours difficiles à gérer, bon courage à vous !
Arnaud